Vélib, contrainte et forcée
Si EJ est devenu accro aux Vélib dès le départ, j’ai toujours préféré avoir mon propre vélo. Je comprends les avantages (solution très économique, pas d’entretien, possibilité de faire un aller en vélo et le retour en métro si les conditions météo changent par exemple). Tout cela est bien beau, mais je trouve les Vélib lourds et laids. Pourtant, je viens de m’y mettre, un peu à contre-coeur. Après mon second vélo volé début le début de l’année, je jette l’éponge. Du coup, j’ai sauté le pas : carte Navigo (maintenant que je vais à priori aller en cours à Saint-Denis trois fois par semaine) et abonnement Vélib connectés. Je suis une vraie Parisienne. Cette semaine, j’ai fait trois trajets. Rentrer dans mon quartier en fin d’après-midi n’est pas évident : la plupart des stations sont pleines (merci l’application qui indique les vélos disponibles quand on cherche un vélo, puis les places disponibles quand on veut le rendre). Finalement, on se retrouve à aller de l’une à l’autre en guettant un départ. Sinon, on doit aller se garer loin et marcher...Et je confirme que les Vélib sont un peu lourdingues. Mais au moins, on ne me volera plus mon vélo. Et puis je suis dans l'air du temps, dans l'économie du partage.
kelloucq
le 21.09.14 à 22:23
dans Actualités
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