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Les Kelloucq en voyage

Grand écart incarné

Après une matinée de travail, je viens d'aller poster deux lettres qui matérialisent parfaitement le grand écart que je fais depuis bientôt 5 ans. Certes, ma souplesse physique laisse beaucoup à désirer. Mais psychologiquement et cognitivement, je suis encore assez flexible!

Ce matin, je terminais mon dossier de renouvellement de la carte de journaliste : tous les ans, les journalistes qu'ils travaillent en rédaction ou en tant que pigistes, doivent prouver qu'ils sont toujours journalistes pour recevoir leur nouvelle carte de presse. " Est journaliste professionnel toute personne qui a pour activité principale, régulière et rétribuée l'exercice de sa profession dans une ou plusieurs entreprises de presse, publications quotidiennes et périodiques ou agences de presse et qui en tire le principal de ses ressources." Bulletins de paie, certificats des employeurs, déclaration de revenus d'autres sources, je me plie à ce rituel annuel depuis 22 ans. Et cette année encore, je suis journaliste professionnelle même si j'ai pas mal réduit mon activité pour mener en parallèle licence, puis master.

Et on en vient à la deuxième lettre. Celle-ci concernait mon projet de recherche de Master 2. Mon enseignante de recherche exigeant que nous fassions la démarche d'obtenir une autorisation auprès d'un Comité de Protection des Personnes comme tous les chercheurs professionnels qui travaillent avec des êtres humains, je "féraille" depuis novembre avec un comité qui m'a demandé quelques modifications. Mais qui vient de me donner son feu vert. Gros travail, principalement administratif, mais qui a permis d'améliorer mon projet me semble-t-il.

Voilà, comment je fais des grands écarts, en tout cas dans ma tête.

 

kelloucq le 18.01.18 à 16:50 dans Actualités - Version imprimable
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