Le sens de l’histoire
La semaine dernière, Gabriel a fait une visite guidée de notre petite ville avec une membre de la Orinda Historical Society. Cette semaine, il nous a fait profiter de ce qu’il avait appris en nous faisant faire un tour à travers la ville. Pour des Européens, une histoire qui commence dans les années 1920 peut prêter à sourire, mais après tout il faut bien commencer quelque part. Comme cette première caserne de pompiers qui héberge aujourd’hui un antiquaire et, à côté, la minuscule première bibliothèque. Aujourd’hui, la caserne et la bibliothèque sont un peu plus loin sur la même rue. Mais beaucoup plus grandes et, pour la bibliothèque que nous fréquentons beaucoup, moderne et très agréable.
L’antiquaire en question est la mère d’un ami d’EJ, une Anglaise installée depuis longtemps ici. Elle donne des cours où elle enseigne l’étiquette du thé à des enfants ou des adultes. Mais pour elle, le thé est un prétexte pour parler d’histoire. Tout peut être prétexte à se plonger dans l’histoire et à donner aux enfants des racines. Après tout, ils ne sont pas venus de nulle part.
kelloucq
le 12.06.10 à 21:53
dans Actualités
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