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Les Kelloucq en voyage

Nostalgie musicale 100% française

Après la première partie avec des morceaux anglo-saxons, j’avais promis de remettre ça avec des chansons françaises. Oops, par habitude, je suis allée fouiller sur YouTube au lieu de DailyMotion. J’ai l’habitude de rebondir sur des situations de la vie quotidienne avec une chanson de circonstance car il y a souvent une chanson qui s'adapte parfaitement à la situation ou à une phrase qui vient d'être prononcée. Les garçons lèvent les yeux au ciel en disant « Mom has a song for everything ». Mais je crois qu’ils aiment bien cette petite manie et je suis contente car toutes ces chansons font partie de notre patrimoine personnel que j’ai envie de le transmettre.

 

Mathématiques souterraines et Je t’en remets au vent de Hubert-Félix Thiéfaine. Des années plus tard, je ne comprends toujours pas grand chose aux paroles de Thiéfaine, mais elles restent empreintes d’une grande poésie. Certaines sont gravées dans ma mémoire. Je l’ai vu une fois, mais je le reverrais bien.

Les vacances au bord de la mer et Dites-moi de Michel Jonasz. Voilà quelqu’un que j’ai revu, des années plus tard. Toujours aussi swing et bon avec les mots. Ses chansons aussi sont gravées dans ma mémoire. Je chantonnais Les vacances au bord de la mer en marchant sur le bord du Pacifique à Pâques.


Tête en l’air
et Je ne peux plus dire je t’aime de Jacques Higelin. Lui aussi, je l’ai vu, ado et adulte, et il avait toujours une pêche énorme. Même chose qu’avec Thiéfaine ou Jonasz, ce sont surtout les paroles qui frappent.


Ca (c’est vraiment toi)
et Un autre monde de Téléphone. Un son qui a peut-être bien moins vieilli que les trois premiers. Mais il y avait de l’énergie dans ces chansons. Je n’avais jamais remarqué le petit côté Mick Jagger de Jean-Louis Aubert.

Bernard Lavilliers, Est-ce ainsi que les hommes vivent ? et Attention fragile. La première n’est pas de lui (Aragon via Léo Ferré), mais c’est bien joué. Encore un qui dure.

Gérard Manset, Finir Pêcheur et Ton âme heureuse et Entrez dans le rêve. Un chanteur plus rare et mystérieux doublé d’un peintre et d’un voyageur, découvert post-bac. 

Jean  Guidoni, Djemila et Il y a. Lui non plus, ce n’est pas un chouchou des radios ou des télés, mais c’est envoûtant. 29 vues pour Il y a ? Il y en qui ne savent pas ce qu’ils loupent.

Ne me quitte pas et Amsterdam de Jacques Brel. Absolument incontournable comme George Brassens (Les copains et Chanson pour l’Auvergnat).

 

 

kelloucq le 26.04.12 à 20:58 dans Actualités - Version imprimable
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